Préparons la fin du monde en musique (2)
Diantre, il paraîtrait que, finalement, la fin du monde ne devrait pas advenir avant 0h32 ce soir… soit finalement le 22 décembre ! Afin de patienter, écoutons une composition peu connue de Rued LANGGAARD (1893-1952), La Fin des temps, pour soprano, ténor, baryton, chœurs et orchestre (1940). Le compositeur danois y peint une fresque post-romantique grandiose, rehaussée par une orchestration rutilante. Durant la même année 1940, mais dans un style bien différent, le compositeur moderne Olivier MESSIAEN (1908-1992) créa l’une de ses pièces les plus célèbres, le Quatuor pour la fin du temps. Il était alors en captivité à Görlitz (Allemagne), et le morceau fut joué pour la première fois le 15 janvier 1941, à l’intérieur même du camp de prisonniers. Malgré son effectif restreint, cette œuvre déploie dès son premier mouvement une infinie richesse de couleurs, aussi bien harmoniques que timbrales.
Diantre, il paraîtrait que, finalement, la fin du monde ne devrait pas advenir avant 0h32 ce soir… soit finalement le 22 décembre !
Afin de patienter, écoutons une composition peu connue de Rued LANGGAARD (1893-1952), La Fin des temps, pour soprano, ténor, baryton, chœurs et orchestre (1940). Le compositeur danois y peint une fresque post-romantique grandiose, rehaussée par une orchestration rutilante.
Durant la même année 1940, mais dans un style bien différent, le compositeur moderne Olivier MESSIAEN (1908-1992) créa l’une de ses pièces les plus célèbres, le Quatuor pour la fin du temps. Il était alors en captivité à Görlitz (Allemagne), et le morceau fut joué pour la première fois le 15 janvier 1941, à l’intérieur même du camp de prisonniers.
Malgré son effectif restreint, cette œuvre déploie dès son premier mouvement une infinie richesse de couleurs, aussi bien harmoniques que timbrales.
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